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SITES TOURISTIQUES

OUIDAH

GANVIE

PORTO NOVO

ABOMEY

DASSA

SAVE

PARAKOU

ATACORA

Au début du XIXe siècle, Cotonou ou  Kùtɔ́nû qui signifie « embouchure du fleuve de la mort en langue FON »  n’était habité que par quelques pêcheurs. C’est sous le règne de Glèlè, roi du Dahomey (1858 - 1889) que les premiers Européens s’installent. Le territoire est cédé à la France par un traité signé avec Glèlè le 19 mai 1868. À sa mort en 1889, son fils Béhanzin tente en vain de remettre en cause ce traité. La ville, désormais officielle, se développe alors rapidement. Aujourd’hui il est la capitale économique et la plus grande ville du Bénin. Elle abrite beaucoup de services gouvernementaux et diplomatiques. Elle offre aux touristes d’énorme merveilles comme :
-         L’aéroport international ‘‘…………………….’’
-         La Francophonie
-         La fondation ZINSOU
-         Le Port autonome de Cotonou.Il est véritable poumon de l'économie nationale le quatrième port d'Afrique de l'Ouest
-         Le port de pêche
-         Le palais des congrès
-         Les Places telles que : de l’Etoîle rouge, des Martyres etc…
-         Le Centre de Promotion Artisanal
-         Les quartiers des Ambassades 
-         La rue du commerce
-         des plages aux sables fins parsemées de cocotiers ( Togbin- daho, Avlékété etc…)
-         une foule de marché dont Dantokpa qui est le plus grand marché international de l' Afrique de l'Ouest  de 20 hectares.
-          Des boîtes de nuit, des restaurants, des hôtels et plein d’autres lieux de Distraction
-         Centre Hospitalier CNHU
-         Centre Culturel Français ; Americain ; Chinois et autres……………………
Ouidah ( Gléhoué) n’était qu’un petit village dans un petit royaume de Xwéda qui parvenait à subvenir aux besoins de ses habitants grâce au secteur primaire. Ce n’est qu’au  XVIIe  et au XVIIIe  siècle siècle que les marchands Européens, Portuguais, Britanniques, Espagnols et autres établissent des Forts et comptoires et  commencèrent à acheter des esclaves ‘‘ prisonniers de guerre, coupable d’adultère etc’’  contre  de la pacotille, les canons, alcool, verroteries, des miroirs, liqueurs, fusils, poudres à canon, tabacs, bals de tissu, pipes, etc…
Ces esclaves une fois dans le village Xwéda empruntaient la route des esclaves qui mène aux bateaux des négriers. Elle est composée de cinq points stratégiques à savoir :
-         La place des enchères ou CHACHA
-         L’arbre de l’oubli
-         LA CASE DE ZOMAÏ
-         Le Mémorial du souvenir
-         l'arbre du retour
-         La porte du non retour
 
 OUIDAH est aujourd’hui une ville historique et phare du Bénin en ce qui concerne l’histoire de la traite négrière en Afrique de l’Ouest. Située à 42 kilomètres de Cotonou, Ouidah est actuellement d’environ 60 000 habitants et abrite d’autres sites bien  intéressant tel que :
-         Le temple des pythons
-         La forêt sacrée de Kpassèzoun
-         la Musée historique de Ouidah
-         la maison de TCHIAKPE et autres.....
-         la Maison du Brésil
-         la porte du retour
-         l'arbre aux caïmans
Ganvié est un  village lacustre du sud du Bénin, situé sur le lac Nokoué au nord-est      de la métropole de Cotonou. Surnommée « la Venise de l'Afrique  », ce village apparaît comme une cité pittoresque où il n’y pas d’immeuble, ni d’arbres, mais seulement des maisons construites en bambou et couvertes de pailles ou de tôles : c’est la révélation d’une architecture particulière. La durée de vie des maisons construites sur l’eau est de 20 à 25 ans. C’est une zone de prédilection de la pêche, on y développe la technique « ACADJA », véritable enclos et ceintures de végétaux destiné à la pisciculture. Sa population nommée « TOFFINOU », originaires du Tado  compte aujourd'hui environ 30 000 habitants et  qui vivent principalement de la pêche. La communauté de Ganvié est très hiérarchisée et L’héritage se transmet de père en fils. La division sexuelle du travail est très accentuée : tandis que l’homme s’occupe de la pêche, la femme est entièrement responsable des opérations post capture (transformation, conservation, commercialisation) et de l’entretien.
Le crocodile est sacré à Ganvié car suite à des guerres tribales, ces hommes sont arrivés avec leur roi Agbogdobé en 1717. Ce roi, puissant en Vaudoun, se métamorphosa en épervier, survola la lagune et découvrit l’île de Ganvié »,   « Ses accompagnateurs restés sur la rive ne pouvant pas passer, il fit alors une autre magie qui le transforma en crocodile, transportant ainsi ses collaborateurs sur son dos.
Situé à 8 km de l’embarcadère et avec son paysage magnifique, le village lacustre de Ganvié  appelé aussi la ’’Venise de l’Afrique’’, attire chaque année des milliers de touristes; curieux européens, africains, americains etc… C’est un village qui offre aux visiteurs :
-          des pirogues remplies de diverses denrées traversant le village afin de permettre aux habitants qui n’ont pas pu se déplacer et de s’offrir des produits sollicités sans grande difficulté.
-         Les pêcheurs dans leurs barques jetant leurs grands filets dans le fleuve et le ressortir, remplis de poissons frétillants.
-         Des restaurants, des bars, des coffee bars, des hôtels, des bungalows.
-         Des vues……………………………………………………………………………

Porto-Novo ‘‘ Port nouveau des portuguais ’’ autrefois Adjatchê était habité par les Nagots. C’est l’une des capitales au patrimoine les mieux préservés. L'architecture y présente un style original avec des influences brésiliennes et françaises.

-    Les arbres sacrés comme……………………………………. sont aussi un élément important de ce patrimoine.

-    Le palais royal - Musée Honmè : le musée Honmè, appelé par beaucoup de Porto-noviens palais-royal, pour avoir été la résidence du Roi Toffa, le premier à avoir signé un traité d'amitié avec la France. La royauté du Bénin a été l'une des plus durables d'Afrique de l'Ouest. Elle s'est éteinte en 1976, à la suite d'un désaccord de succession. Le musée expose la vie de la cour royale durant le XIXème et début XXème siècle. Les collections permanentes regorgent de photos montrant le Roi Toffa, ainsi que son port royal. Une visite très enrichissante pour comprendre de quelle manière se vivait la royauté africaine.

-    Le temple ABESSAN

-    Le monument des ZANGBETO

-    Le Grand Marché d'Adjara :

le grand marché d'Adjara, réputé pour être l'un des plus intéressants du Bénin. Poteries, instruments de musique, étoffes, vanneries, etc… Observez les pirogues remplies de marchandises, arrivant du Nigéria voisin.

Porto-Novo, tout comme le Bénin dans son ensemble, est caractérisée par une grande diversité ethnique. Les Fons et Gouns forment à elles deux près des deux tiers de la population, les Yorubas environ 25%.

Certaines ethnies sont plus spécialisées dans certaines activités économiques, Gouns et Fons dans le transport ou l'agriculture, les Yoroubas dans le commerce.

La ville d'Abomey est la capitale historique du royaume du Dahomey, situé sur le plateau central à 145 km de Cotonou.
Ancienne capitale du royaume du Dahomey (Danhomé en langue fon) (ou d'Abomey), fondée selon la tradition en 1625. Ce royaume militaire, remarquablement organisé, s'étendit vers la zone côtière (trafic des armes et des esclaves) et conquit le royaume d'Allada qui se reconstitua à Porto-Novo.
De 1625 à 1900, douze rois se succédèrent à la tête du puissant royaume d’Abomey. À l’exception du roi Houessou Akaba, qui utilisa un enclos distinct, chacun fit édifier son palais à l’intérieur d’un enclos entouré de murs de pisé tout en conservant certaines caractéristiques de l’architecture des palais précédents dans l’organisation de l’espace et le choix des matériaux. Les palais d’Abomey fournissent un témoignage exceptionnel sur un royaume disparu.
Hostile à la pénétration européenne malgré la cession de certains comptoirs dont Cotonou, le roi Glélé (1854-1889) puis son fils Behanzin luttèrent contre les expéditions françaises. Abomey fut finalement pris en 1892 par les troupes du colonel Dodds.
Les palais royaux d'Abomey, inscrits au patrimoine de l’UNESCO en 1985, constituent un haut lieu de l'histoire, de la culture vivante et du tourisme du Bénin[2]. Les collections abritent des sièges royaux, bas-reliefs, statuettes et objets cultuels vaudous.
Situé à 209 Km de Cotonou, Dassa – Zoumè est très connue pour abriter la « grotte Notre – Dame d’Arigbo » où la Vierge aurait fait une apparition.
La ville avec ses 41 collines a une riche histoire que l’on peut découvrir en visitant les lieux sacrés et les palais en rendant visite au roi.
La « grotte Notre – Dame d’Arigbo » rassemble chaque année à la mi – Août, des dizaines de milliers de pèlerins venus des quatre coins du Bénin et des pays voisins ; les collines offrent également des possibilités intarissables d’excursions, de promenades à vélo et même d’alpinisme.
    - La grotte Mariale
    - les collines
Dassa –Zoumé qui abrite le sanctuaire mariale à l’instar de Notre Dame de Lourdes et où a eu lieu tous les ans un pèlerinage qui compte des chrétiens venus du monde entier

Savè est une commune du département des Collines, située au Bénin. Ses habitants sont

appelés les Tchabè............

-         Les Mamelles de Savè

-         Le Palais royal

En descendant au centre, l’on retrouve Savè avec ses "Mamelles", des collines majestueusement taillée par la nature en forme de seins de jeune fille.

Parakou est la plus grande ville du nord du Bénin et la préfecture du département du Borgou. Elle est située sur la route principale traversant le Bénin du nord au sud. Parakou est reliée à Cotonou par la ligne de chemin de fer du Bénin-Niger. Sa population avoisinerait les 200 000 habitants et regorge des merveilles comme :

-         Le Parc w

-         Le palais royal

-         Le Musée historique
L’Atacora est un département au Nord du Bénin qui est situé à 600 kilomètres (km) environ au Nord-ouest de Cotonou. Avec une superficie de 20 499 km². C’est le département le mieux pourvu en curiosités touristiques.
Il fait lieu d’énorme merveilles telles que :
    - Une vue panoramique de la ville
    - La chute de KOTA
    - Le Baobab creux
    - La Chaîne de l’Atacora
    - Le musée régional de Natitingou,-e parc national de la Pendjari,
    - Les tatas sombas, véritables châteaux forts caractérisant l’architecture des habitants en pays Somba, très appréciés des touristes.
    - Lexistence d’un ranch d’autruches.
    - Les relais de Tanougou pour ne citer que ceux-là
    - La réserve de biosphère de la Pendjari et l’existence de l’hôtel Porga,
    - Le parc Pendjari
    - La chute de Tanougou
    - L’hôpital St Jean de Dieu
    - La réserve de la Pendjari, à cheval sur le Bénin et le Burkina Faso, est très fournie en capital faunique. Cette réserve de la Pendjari est aménagée pour recevoir les amoureux du SAFARI. Situé à 93 km de Natitingou, et d’une superficie de 275 000 hectares, le parc est un véritable jardin d’Éden où vivent protégés, plus de 850 éléphants, 2 000 buffles, 1 205 hippopotames, 350 lions et autres, léopards, antilopes , etc.. D’importantes espèces d’oiseaux y vivent également.
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